Témoignage : Night & Day

Chaîne d'une cinquantaine de magasins (librairie, épicerie,...) en Belgique. Utilise Mercator depuis l’an 2000.

Témoignages

Night & Day, une enseigne que tout le monde connaît, pouvez-vous nous brosser un petit historique de votre entreprise?

Philippe Clinet : Nous avons commencé en septembre 1993 avec un premier magasin à Namur, ouvert uniquement le soir et ciblant les étudiants des facultés toutes proches. 15 ans plus tard, nous comptons 47 points de vente, répartis dans une bonne partie de la Wallonie. Au fil du temps, nous avons développé un concept principalement axé sur la vente de produits de librairie. Celui-ci représente actuellement 75% de notre chiffre d’affaires et se compose de la presse, tabacs, cartes de téléphone et produits de la Loterie Nationale. En parallèle, nous proposons également une gamme de produits de dépannage et de produits d'alimentation. Notre spécificité réside, avant tout, dans nos heures d’ouverture qui sont très larges (de 6h à minuit, voire 1h).

Quarante-sept points de vente, certains en franchise ?

P. C. : De nombreux points de vente nous appartiennent, d’autres sont franchisés. Actuellement, la tendance serait plutôt une progression à travers des franchisés, même si nous continuons de créer nos propres points de vente. Ceci nous a également permis de créer une activité de grossiste, à travers notre centrale d’achats.

Comment s’est opéré le choix d’un logiciel de gestion et de comptabilité ?

P. C. : Au début, on ne parlait pas d’Internet et chaque point de vente disposait de son terminal individuel. Ce qui nous imposait de nous promener de magasin en magasin avec des disquettes, et les ventes étaient rapatriées journellement sous forme d’éditions papier. A partir de notre quatrième point de vente, nous avons senti la nécessité d’évoluer.

Vous avez donc réalisé une étude du marché de l’époque ?

P. C. : Il y a une bonne dizaine d’années, nous avons fait le tour des offres du marché et nos moyens financiers de l’époque nous imposaient de combiner judicieusement le rapport qualité et prix de l’investissement. Après une étude de marché, nous avons choisi un logiciel relativement jeune qu’était Mercator d’Ineo. Il nous permettait, déjà à l’époque, de centraliser l’information depuis nos bureaux et mettre à jour à distance les fichiers articles et clients. A ce moment, Mercator ne proposait pas encore de logiciel comptable et les données devaient être importées dans un autre logiciel ; une opération qui a débuté manuellement et qui s’est automatisée grâce aux « passerelles » créées par Mercator vers Popsy et Winbooks, que nous utilisions à l’époque.

Actuellement, vous utilisez la comptabilité Mercator ?

P. C. : Oui bien sûr. Mais nous avions nos habitudes et nous n’avons pas fait le passage immédiatement. Il y a quelques temps, nous sommes passés à la gestion intégrée des solutions Mercator en utilisant un ERP complet. Nous gérons différentes structures commerciales et comptables (avec les franchisés) et la souplesse de Mercator nous a permis d’injecter, dans les différentes comptabilités, les informations qui doivent s’y trouver. Par exemple, les factures que nous établissons à nos franchisés sont directement intégrées dans leur comptabilité sans aucun ré-encodage.

Vous avez beaucoup évolué en 15 ans d’existence.

P. C. : Nous avons finalement eu la chance que le logiciel ait évolué en parallèle avec notre progression et d’y trouver les réponses à nos nouvelles attentes. L’arrivée d’Internet nous ayant ouvert les portes de l’e-commerce, nous sommes devenus utilisateurs de l’e-shop de Mercator presque depuis le début.

L’évolution de Mercator répond-elle à vos besoins ?

P. C. : Nous avons toujours collaboré étroitement avec Ineo, le feed-back de nos expériences a certainement contribué à l’évolution du logiciel, nous en avons profité. En ce qui concerne les petits problèmes rencontrés, ils sont traités rapidement et les mises à jour s’implémentent automatiquement. Pour ce qui est de nos demandes plus spécifiques, nous avons également un suivi rapide. Ce fut le cas pour la création de l’e-shop, qui s’est créé en quelques mois. Une des forces de Mercator, c’est d’évoluer avec la demande de ses clients.

Si c’était à refaire aujourd’hui, vous choisiriez toujours Mercator ?

P. C. : Tout à fait et puisque toute société doit à un moment donné se remettre en cause, il y a quelques années, nous avons refait un tour du marché pour découvrir les autres acteurs de systèmes ERP complets. Après avoir vu les autres solutions présentes sur le marché, nous avons décidé de poursuivre avec Mercator.

Je crois que vous avez également fait développer des applications spécifiques ?

P. C. : Nous profitons ici des spécificités de Mercator permettant de développer des modules supplémentaires qui s’intègrent avec l’interface Mercator, entre autre un système intégré de web-service pour la vente de codes de recharge pour GSM, des codes secrets conservés dans notre centrale et transmis au magasin, juste au moment de la vente.

Vous considérez-vous comme précurseur dans l’intégration de l’outil informatique dans des magasins de détail ?

P. C. : Nous avons toujours eu des affinités avec l’informatique. Nous étions parmi les premiers à utiliser un logiciel de caisse plutôt qu’une caisse enregistreuse. Ensuite, nous fûmes à nouveau parmi les premiers à avoir un accès et un site Internet. Ceci nous a permis de faire les installations nous-mêmes et d’acquérir une maîtrise assez importante du logiciel Mercator. Avec l’assistance efficace de Mercator, nous sommes autonomes.

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