Testimonial : Le Comptoir du Peintre

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Démarrer une nouvelle activité, un tournant dans la vie. Quelles sont les étapes à franchir et comment choisir son logiciel informatique pour démarrer sereinement ? 

le comptoir du peintre charleroi

Rencontre avec Jean-Paul de Vriendt, gérant du Comptoir du Peintre

Le Comptoir du Peintre fournit des peintures, revêtements de sols et revêtements muraux, colles et autres accessoires à ses clients professionnels et particuliers.
Le magasin, situé à Mont sur Marchienne près de Charleroi, a ouvert ses portes en novembre 2018.

Le site web



Lancer une nouvelle activité


Votre magasin est tout neuf. Comment est venue l’envie de commencer un nouveau projet ?

J-P D. V. : Je suis dans le métier depuis 1987. Précédemment, j’étais directeur commercial chez un grossiste en peintures et en décembre 2017, nous avons rompu notre contrat parce que nous n’étions plus sur la même longueur d’onde.

Je connaissais très bien le secteur. Mon entourage m’a dit « Lance-toi ! » A 57 ans, ce n’est pas évident, il faut être prudent financièrement. J’ai répondu que j’allais étudier le projet. J’avais envie de mettre en pratique mes idées et mon réseau professionnel.


Quand on démarre un nouveau projet, dans quel ordre procède-t-on ? 

J-P D. V. : J’ai d’abord choisi les produits. Je ne voulais pas travailler avec des marques de peintures déjà disponibles sur Charleroi.
Une fois la marque trouvée et les autres fournisseurs, j’ai cherché le bâtiment. Je souhaitais un magasin aéré. Ici, le client n’est pas livré à lui-même. Je mets mon expertise au service du professionnel ou des particuliers.


Comment avez-vous abordé la question de l’informatisation ? Quels ont été les critères de sélection pour le choix de votre outil de gestion ? 

J-P D. V. : J’ai pris contact avec deux sociétés. C’est le prix qui m’a décidé pour Mercator. 
Avant l’installation, j’avais déjà tout préparé (tarifs, articles, classifications…).  Dans mes précédents postes, j’avais fait adapter les logiciels utilisés pour répondre aux besoins. Je savais donc précisément ce que le programme devait faire. J’avais les notes, il fallait les mettre en musique et jouer la partition.
J’ai également demandé des adaptations au cours de l’installation. Je suis content du résultat et de la rapidité du service. 


Combien de temps doit-on compter entre la mise en place du logiciel de gestion et l’ouverture du magasin ?

J-P D. V. : J’ai passé commande pour Mercator en septembre et j’ai ouvert en novembre. 
Mercator est très facile à utiliser, on se l’approprie rapidement. On crée un devis et puis le document suit son cours, il ne faut rien réencoder pour faire une commande.

Le comptoir du peintre travaille avec Mercator


Mercator pour le secteur de la peinture


Vous utilisez l’application MercatorPenguin pour travailler sur la route et chez vos clients… 

J-P D. V. : Oui, sur la route je consulte mes produits dans l’application mobile Penguin. Mon réseau professionnel utilise également l’application : ils y retrouvent leurs prix, leurs conditions, les prix particuliers, … Ils ne doivent plus me téléphoner. 


Que pensez-vous du logiciel de manière générale ?

J-P D. V. : C’est un programme de gestion journalière qui porte bien son nom car si on travaille à la gestion régulièrement, il n’y a aucun surplus de travail : je sors les factures chaque fin de semaine, je vérifie les livraisons tous les matins, … Beaucoup de choses sont automatisées. 
J’ai commencé avec une licence car j’étais seul. Maintenant l’entreprise s’agrandit. Je pense commander des licences supplémentaires pour travailler sur nos deux comptoirs en même temps. 


Au niveau du contact que vous avez avec l’équipe Mercator, qu’en pensez-vous ? 

J-P D. V. : Ce qui est important, c’est la disponibilité et j’ai des réponses facilement. On se connecte à distance sur mon PC et c’est résolu. 


Conclusion de ce début d’aventure


Comment évaluer les débuts de cette nouvelle entreprise ? 

J-P D. V. : Dans notre secteur, la période de pleine activité se situe entre mars et septembre. J’ai souhaité ouvrir le magasin plus tôt afin de voir ce qu’il y avait à modifier. Maintenant, la pleine saison arrive, je suis prêt et rodé.


Heureux de vous être lancé  ?

J-P D. V. : A présent, je pourrai me dire « Tu avais raison, tu as bien fait » ou « Tu auras essayé ». 
Dans la culture anglo-saxonne, on n’a pas peur de l’échec, on ose. Chez nous les européens, on est plus attaché aux qu’en-dira-t-on, on réfléchit, on est freiné… J’aurais déjà pu lancer ce projet en 2001 mais on m’a dit « Ne le fais pas… ». C’est un regret. 
Aujourd’hui, je travaille avec mon épouse. Peut-être bientôt avec mon fils. On est dans un cadre plus serein, sans prise de tête. On a un nouveau challenge devant nous.


La clé pour démarrer rapidement et facilement ?
Bien analyser et connaître ses besoins. Communiquer ses souhaits. Préparer ses données. 
Après, tout est plus facile.

magasin peintures