Heureux de vous être lancé ?
J-P D. V. : A présent, je pourrai me dire « Tu avais raison, tu as bien fait » ou « Tu auras essayé ».
Dans la culture anglo-saxonne, on n’a pas peur de l’échec, on ose. Chez nous les européens, on est plus attaché aux qu’en-dira-t-on, on réfléchit, on est freiné… J’aurais déjà pu lancer ce projet en 2001 mais on m’a dit « Ne le fais pas… ». C’est un regret.
Aujourd’hui, je travaille avec mon épouse. Peut-être bientôt avec mon fils. On est dans un cadre plus serein, sans prise de tête. On a un nouveau challenge devant nous.