Témoignage : Fiduciaire Voet & Co

La fiduciaire VOET est établie depuis 1997 sur le marché luxembourgeois et est utilisatrice de Mercator depuis 2008.

Témoignages

A quelques kilomètres de la capitale grand-ducale, dans un zoning industriel, se loge la fiduciaire « VOET & Co » qui a choisi Mercator pour la gestion comptable de ses clients.

Qu’utilisiez-vous comme logiciel avant de débuter avec Mercator ?

M. Voet : Nous utilisions Expert/M de Kluwer.

Quelles raisons vous ont poussés à adopter Mercator ?

M. V. : Nous étions à la recherche d’un nouveau logiciel qui soit plus adapté aux besoins comptables luxembourgeois. Mon expérience de plus de 10 ans m’a amené à passer par Cubic, Bob et Expert/M. Les options pour le Luxembourg ont toujours été des annexes adaptées à nos spécificités.

Quelles sont les spécificités luxembourgeoises en ce qui concerne les obligations comptables ?

M. V. : Ce qui constitue le plus gros problème, c’est l’édition d’une déclaration annuelle TVA récapitulative, qui se compose d’un premier volet comptable et d’une annexe qui reprend une sorte de balance des frais généraux. Une autre grande différence est qu’au Luxembourg, il n’existe toujours pas de Plan Comptable Minimum Normalisé. Il n’y a donc pas encore de centrale de balance, nous utilisons donc le plan comptable belge en espérant qu’un jour ils n’en imposeront pas un de type français. Au niveau des relations bancaires, il n’existe pas encore de communication structurée standardisée comme en Belgique, et nous sommes dans une période transitoire entre l’ancien « multiline » et le nouveau (ndlr : développé par Isabel).

Avez-vous trouvé en Mercator ces spécificités luxembourgeoises ?

M. V. : Oui, et des évolutions en ce sens sont encore en cours pour suivre les changements que je viens d’évoquer. Une des fonctionnalités phares est sans conteste l’édition de la déclaration annuelle de TVA.

Le transfert des données depuis expert/M vers Mercator s’est-il produit sans heurt ?

M. V. : Ce genre de transfert est toujours compliqué et source d’insomnies. Nous avons longuement hésité entre une réouverture pure et simple et une récupération. Nous avons choisi la récupération par Mercator. Tous les problèmes qui se sont posés ont pu être résolus par l’intervention de Segma (distributeur officiel Mercator) et tout s’est bien passé. Nous avons pu récupérer les historiques comptables de nos clients depuis 2003-2004.

Peut-on avoir une idée du nombre de dossiers comptables que vous gérez ?

M. V. : Nous gérons environ 75 dossiers comptables. Nous sommes maintenant sur le point d’entrer dans une deuxième phase dans laquelle nos clients utilisent eux-mêmes Mercator. Leurs documents peuvent ainsi nous être envoyés par email sans aucun réencodage, alors que le client et nous-mêmes pouvons continuer à travailler dans le dossier.

Êtes-vous satisfait d’avoir choisi Mercator ?

M. V. : Oui, changer de logiciel pour une fiduciaire n’est jamais quelque chose de facile. Outre la migration des données de l’ancien logiciel, il y a aussi l’apprentissage d’une nouvelle interface et les doutes sur la qualité des documents légaux qui sont générés. Finalement, avec Mercator, tout s’est bien passé, notamment pour l’impression des formulaires de déclaration TVA mensuelle et trimestrielle qui ont été corrects dès le début. Et surtout, ce que nous avons acheté avec Mercator, c’est un logiciel qui continue à évoluer avec nos besoins. Aujourd’hui, par exemple, notre revendeur Segma vient installer un module d’édition de l’annexe reprenant les frais généraux, sous forme d’une grille correspondant aux documents fiscaux.

Quels modules Mercator utilisez-vous ?

M. V. : On utilise les immobilisations, la gestion bancaire et bien sûr la comptabilité. Nous négocions avec nos clients pour proposer l’analytique, mais il y a encore un peu de résistance.

Quels critères ont influencé votre choix vers Mercator ?

M. V. : Ici, au Luxembourg, le choix est assez réduit. Il existe plusieurs petits logiciels locaux, mais aucune solution réellement performante. Mercator offrait une structure adaptée à nos besoins et également un distributeur de proximité pour l’assistance et régler les problèmes. Ce qui me plaît le plus chez Mercator, c’est de pouvoir corriger à tout moment sans devoir chaque fois faire des OD, par exemple lorsque l’on sort la déclaration TVA et que l’on constate une anomalie.