Notre position par rapport à l'utilisation des O.D. automatiques lors de la génération des paiements fournisseurs est celle-ci : il ne faut plus jamais utiliser cette fonctionnalité.
Elle crée une O.D. qui débite le compte du fournisseur par le crédit d’un compte 580000. Cela veut dire que, par exemple, des factures fournisseurs de décembre, payées avec un délai de 30 jours ou plus, produiront au 31/12 un bilan faux, puisque les montants créditeurs seraient attendus sur le compte 440000 et non un 580000. On parle bel et bien d’un changement de rubrique bilantaire.
Cette fonctionnalité est considérée comme « archaïque ». Elle date d'avant la norme SEPA, période pendant laquelle les banques faisaient un débit global pour tous les paiements envoyés par fichier et portant la même référence. Depuis SEPA, chaque paiement remonte dans les extraits de compte de façon individuelle. De plus, si on utilise la fonctionnalité de récupération des extraits de comptes codifiés (CODA), Mercator contient du code qui permet d’associer un virement émis à ce même paiement constaté dans les extraits de compte. Le lettrage est alors effectué automatiquement et, en définitive, l’utilisateur ne doit rien faire.
Cette fonctionnalité est toutefois maintenue dans Mercator, puisque nous ne pouvons empêcher les utilisateurs qui l'employaient selon leurs convenances, de pouvoir encore en disposer.
En résumé, ces zones restent à blanc :
Le même raisonnement s'appliquent aux domiciliations.