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Signalétiques : différences entre la version "legacy" et la version "Aruba"

0000001903     -      07/11/2013
Obsolète

Généralités à propos des signalétiques

  • Lors du paramétrage de l'écran, l'utilisateur peut placer tous les objets dans n'importe quel onglet.
    Exemples :
    • On peut mettre le stock disponible sous l'objet " Explorateur de fichiers "
    • On peut mettre les 2 tableaux de gamme sur le premier onglet
  • Chaque écran signalétique peut être ouvert plusieurs fois.
  • A droite de l'entête des signalétiques sont apparus de nouveaux boutons cli_chg_onglet. Si tous les onglets ne peuvent être affichés, ces boutons se colorent en blanc pour indiquer que l'utilisateur peut cliquer dessus pour visualiser les onglets supplémentaires disponibles.
  • Il est également possible d'afficher plusieurs fois la même zone (sur des onglets différents - pour un même utilisateur).
  • Certaines validations s'exécutent dès que le curseur quitte la zone. L'utilisateur est immédiatement averti en cas d'erreur par un signal visuel affiché à droite de la zone. cli_wrong_field
    Cependant, ces validations sont désactivées lors du filtrage des données ou d'une recherche multi-critères. De cette manière, l'utilisateur peut, par exemple, chercher les n° de TVA contenant BE ou les adresses mails contenant @.
  • Il est maintenant possible d'introduire plusieurs adresses mails séparées par ';'. Le contrôle s'effectue sur chaque adresse mail prise séparément.
  • Si une des zones est de format "Image" (et le Control Source de type Char), l'utilisateur peut y attacher une image via un "Drag & Drop" de l'image sur l'emplacement prévu dans la fiche du signalétique. Le champ contient alors le nom du fichier et celui-ci est automatiquement transféré (c'est-à-dire copié) dans le répertoire prévu (..\data\bmp\ par exemple).
  • Dans la version "legacy", certaines zones étaient d'office suivies d'un bouton. Exemple : adresse mail suivie du bouton permettant d'ouvrir un mail à partir du signalétique. Ces boutons sont maintenant intégrés dans la zone en question (toujours à la fin de celle-ci).
  • Dans la fiche des clients et des fournisseurs, la notion de type (Personne/Société) disparaît.
  • Pour savoir si le client ou fournisseur est assujetti ou non, il fallait faire clic-droit sur le numéro d'entreprise; de même pour modifier cette valeur.
    Dans la version Aruba, une marque visuelle affichée à la fin de la zone montre maintenant si le client est assujetti cli_assuj ou non cli_nonassuj. Donc, un client/fournisseur est considéré comme non assujetti si
    • soit le n° d'entreprise est vide,
    • soit le n° d'entreprise est complété mais que l'icône indique "non assujetti".

    Par contre, l'import et la vérification via CheckVatPort sont toujours accessibles via le clic-droit.
  • L'affichage de certaines zones n'est plus "figé" (ex : rayons / familles / sous-familles; catégories; tailles & couleurs; ...). L'utilisateur peut décider de les dissocier et de les afficher sur différents onglets.
  • L'onglet "Interrogation" du signalétique des articles permet une sélection par dépôt.
  • Via "Outils / Options", il est possible de déterminer le nombre d'enregistrements à afficher dans chaque page, dans les listes de parcours et de recherche des signalétiques.
  • Vu qu'il est maintenant possible d'ouvrir plusieurs fois le même signalétique, le filtre appliqué sur un signalétique n'est plus global mais lié à la fenêtre courante. Ceci implique donc que le filtre est désactivé dès la fermeture de cette fenêtre. Dans le cas où une opération de Mercator doit utiliser le filtre placé sur un signalétique (exemple : lors du réapprovisionnement, tenir compte du filtre sur les articles), et que plusieurs fiches articles sont ouvertes, Mercator montre une boîte de dialogue permettant de choisir le filtre à prendre en considération.
  • Dans le signalétique des articles, onglets "Stock Gammes" et "Prix Gammes", le bouton "Filtrer" a disparu. En effet, la plupart des fonctionnalités liées à une grille ont été regroupées dans le menu contextuel obtenu par clic-droit. Si un filtre est actif, le point de menu sera coché.
  • Dans le signalétique des articles, les zones pour encoder les stocks minimum et maximum se trouvent toujours dans la grille reprenant le stock des différents dépôts.
  • Les valeurs par défaut qui étaient stockées dans des fichiers MEM en mode "legacy" sont à présent stockées dans des fichiers XML. Il n'y a pas de migration possibile pour les valeurs par défaut. Elles doivent donc être créées manuellement.
  • Les expressions sont écrites en C#.
  • Le mécanisme EnterStop est accessible.

Menu correspondant au signalétique ouvert

  • Signalétiques des articles - Mettre à jour prix : cette fenêtre offre toujours à l'utilisateur la possibilité d'introduire une formule qui sera appliquée lors de la mise à jour du prix. Comme l'indique le logo, celle-ci doit respecter la syntaxe SQL Server. De plus, elle peut être sauvée / récupérée. Le fichier porte l'extension xCal.
    L'utlisateur peut également faire exécuter le script C# qui serait sélectionné dans la fiche des articles. Pour ce faire, il lui suffit de cocher la case "Appliquer script". La formule est d'abord appliquée et ensuite le script.

Ecrans listes

  • Par défaut, si aucune colonne n'a été définie, Mercator affichera les colonnes reprenant l'Id et le nom du signalétique correspondant.
  • Le contenu de la colonne "Source" du paramétrage peut être choisi dans la liste déroulante proposée. Celle-ci reprend l'ensemble des champs de la table ainsi que quelques "termes" qui reprennent une valeur "compréhensible" par rapport à la clé contenue réellement dans le fichier.
    Exemples :
    • "Solde" : solde du client, du fournisseur, du compte général, correctement formatté et renvoyé sous la forme d'une chaîne de caractères. Cette chaîne commence par 'D' pour les soldes débiteurs et 'C' pour les soldes créditeurs
    • "Dépôts" : nom du dépôt
    • "Désignation" : pour les articles, désignation dans la langue de l'utilisateur
    • "Prix" : pour les articles, prix selon la valeur sélectionnée dans le déroulant de prix
    • "Rayon, Famille, Sous-famille" : libellé correspondant
    • "Pour les articles, le stock, le disponible, les quantités vendues, envoyées, réservées, achetées, fournies et commandées, pour le dépôt sélectionné dans le déroulant de dépôts.
    Cette colonne peut également être complétée par une formule pour autant qu'elle respecte la syntaxe SQL.
  • Les masques doivent être exprimés au format .net. Par exemple : ### ### ##0.00
  • Via "Outils / Options / Nbre enregistr. page listes de signalét.", il est possible de déterminer le nombre d'enregistrements à afficher dans chaque page, dans les listes de parcours et de recherche des signalétiques (paging). Notez que la fonctionnalité de paging n'est pas disponible sur la base de données de Mercator est hébergée sur un serveur SQL version 2000.
  • attention Etant donné qu'en mode "legacy", le paramétrage était effectué sur base d'expressions xBase et non SQL, il n'y a pas de migration possible de l'ancienne configuration des listes vers la nouvelle.

Import de données

Le fonctionnement de l'import est globalement identique à celui qui prévalait auparavant, hormis ces différences :
  • Le format par défaut est à présent XLSX (mais le format XLS reste maintenu).
  • Le format DBF est abandonné.
  • Le traitement de l'import se fait en utilisant au maximum le concept "client-serveur" : dès lors, c'est essentiellement le serveur SQL qui est chargé d'effectuer le contrôle d'intégrité des données importées. En conséquence, les messages d'erreurs renvoyés sont pour la plupart des messages SQL.
  • En conséquence du point qui précède, Mercator n'est plus à même de dissocier le nombre de fiches ajoutées et le nombre de fiches modifiées. En effet, l'import se fait par une seule et unique requête SQL par ligne importée, que cette ligne doive être ajoutée ou modifiée.
  • Afin d'assurer des performances optimales, l'import ne se fait pas sous transaction. Dès lors, il est possible que certaines lignes soient importées alors que d'autres sont refusées.
  • L'import des données par le libellé au lieu de l'ID est possible :
    • STOCK.S_ID_RAYON devient RAYON
    • STOCK.S_ID_FAMIL devient FAMILLE
    • STOCK.S_ID_SSFAM devient SSFAM
    • STOCK.S_GAMTYPi devient GAMTYPi (libellé de type de tailles & couleurs)  nouveau
    • STOCK.S_GAMENUMi devient GAMENUMi (énuméré de type de tailles & couleurs)  nouveau
  • Dans ARTFOU, l'import permet à présent l'import du champ PRINCIPAL. Après import de ce champ, Mercator vérifie qu'un seul fournisseur par article est coché comme "Principal". La première ligne cochée est maintenue cochée tandis que les autres sont décochées automatiquement.
  • Si on importe une donnée dépendant d'une autre donnée (par exemple, une famille : la famille dépend du rayon - ou un énuméré de gamme qui lui dépend de son type), l'import de cette colonne dont la donnée dépend est obligatoire.
    Exemple : si on importe une famille, on doit importer le rayon.
  • L'import Excel permet l'import de champs de type mémo.

Export de données

Le fonctionnement de l'export est globalement identique à celui qui prévalait auparavant, hormis ces différences :

  • Dans la fenêtre de sélection des champs pour l'export des signalétiques, les mêmes icônes que dans l'écran "Database Viewer" sont affichées. Cela permet de voir facilement la nature de chaque champ.
  • Le format DBF est abandonné
  • L'export Excel permet l'export de champs de type mémo

Mots clés : Aruba



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