Témoignage : Vincent Piront

Mercator permet de visualiser tous les éléments composant un chantier et son état d'avancement.

Témoignages
Une entreprise dans le secteur du bâtiment. Rencontre avec Vincent Piront, son administrateur délégué.

L’entreprise Vincent Piront existe depuis 32 ans et s’est, au fil du temps, spécialisée dans l’étanchéité et les bardages de bâtiments industriels ainsi que l’isolation thermique et acoustique.
L’entreprise réalise des projets en Belgique mais aussi en France (comme le stade de Lille ou l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle).

Elle possède sa propre main d’œuvre et fait également appel à des sous-traitants. Ses gestionnaires de chantier planifient alors les commandes, rendent les études et fournissent les matériaux.



Une vue globale sur les chantiers, à travers le logiciel

La première étape : générer le devis dans le logiciel. Il doit être accepté par le client et peut donc être modifié plusieurs fois. Il sert ensuite de commande.

« Nous encodons les matériaux utilisés, livrés sur le chantier (en direct du fournisseur ou venant du stock) et la main d’œuvre. Nous avons une vue globale sur ce qu’il faut pour le chantier ainsi qu'un regard sur les différentes phases. »

Le logiciel permet de facturer mensuellement et réaliser des états d’avancement.
L’entreprise a une vue précise sur les déboursés autorisés pour chacun des postes. Elle peut assurer un suivi compétent.

Chaque chantier correspond donc à un projet dans Mercator, qui reprend tous les éléments composant le cycle de vie de ce chantier.



Pourquoi utiliser un logiciel de gestion dans le secteur du bâtiment ?

N°1 : Avoir un tableau de bord à disposition.

« A tout moment, nous pouvons voir si les paramètres sont bons. Nous prenons le pouls, en temps réel, de la santé financière de chaque dossier. »

N°2 : Pour tirer profit des expériences et évoluer.

« Nous débriefons avec l’équipe, après chaque dossier, pour voir ce qui s'est bien déroulé ou non. Sur base des documents, nous débattons ensemble. Nous visualisons les détails de tous les projets et pouvons, ainsi, corriger les erreurs pour les chantiers à venir. »
vincent piront batiment logiciel de gestion 
« Nous pouvons faire remonter aux bonnes personnes les informations disponibles dans le logiciel et en tirer des conclusions. C’est plus qu’une aide. Aujourd’hui, le logiciel est indispensable. Sans lui, c'est comme être dans le brouillard, lancés à 150 km/h, en croisant les doigts pour qu’il n’y ait pas un camion devant nous. Avec ce tableau de bord, nous avons la possibilité d'anticiper. »


vincent piront étanchéité

Les critères d’un bon logiciel de gestion

Avant Mercator, l’entreprise Vincent Piront utilisait un logiciel français. Mais le programme n’avait jamais évolué et les améliorations étaient très limitées. 

« Nous n’obtenions pas les résultats souhaités, nous n’avions pas un contrôle précis de la gestion des opérations. Et nous n'avions pas le retour nécessaire pour modifier nos comportements. »

L'entreprise s'est renseignée pour un autre logiciel en vérifiant les critères suivants : Cette société a-t-elle l’air sérieuse ? Pourrons-nous faire évoluer notre programme ? Pourrons-nous entretenir une relation avec les développeurs ?

«Nous investirons ce qu’il faut pour adapter le programme à nos besoins mais nous voulons de la proximité, un dialogue concernant nos demandes. »

Pourquoi Mercator ?

« Mercator a la bonne taille. Les grosses sociétés d'informatiques, vu leur taille, sont obligées de mettre en place un helpdesk. Mais les entreprises comme la nôtre, qui ont vécu une expérience négative avec un partenaire plus important, ont besoin d’une proximité. C’est précisément sur ce point que Mercator se différencie. »

Il est important d’avoir un contact entre l’entreprise et le développeur informatique. Cette complicité qui se crée et ce dialogue sont un gage d'efficacité.
Chez Mercator, un responsable de projet est nommé pour chaque dossier. Il connaît ses clients : leur niveau d’exigence, leurs points d’attention, leurs souhaits.

« C’est important de garder le même collaborateur quand nous appelons pour intervenir sur notre logiciel. Nous gagnons des heures et cela permet de maintenir une bonne réactivité. »

Changer de programme de gestion, c’est évidemment un bouleversement dans l’entreprise. Qui dit changement dit remise en question donc plus de travail.

« Une fois qu’on a changé, qu’on manie bien le programme, on en conclut que c’était une bonne idée. Aujourd’hui c’est le constat que nous faisons : les utilisateurs sont heureux du changement et ils prennent conscience du bénéfice que ça peut apporter tant au niveau organisationnel qu’au niveau rentabilité. »